Quand le gris clair des cîmes, avec les sapins verts,
Lentement des abîmes, arpente la rêche pierre,
Une constellation sèche, un faisceau de poussière,
Se révèlent dans un ordre que je ne puis décrire.
La déesse a le ciel pour empire : et vénère
pour sa seule robe la sphère, continuellement cerclant
nous étourdit dans la valse des vents, Eris!
En ta pureté du regard brille la flamme rosée
de ta danse immaculée par l'innocence,
en ton coeur cardinal : ô précieux Saphir !
N'aurai su de quoi est ce tout ? Et où est ce tout?
Pas toi en tout cas, car tu devances et condamnes.
Par l'austère en souvenir, la beauté punit l'âme.
Lentement des abîmes, arpente la rêche pierre,
Une constellation sèche, un faisceau de poussière,
Se révèlent dans un ordre que je ne puis décrire.
La déesse a le ciel pour empire : et vénère
pour sa seule robe la sphère, continuellement cerclant
nous étourdit dans la valse des vents, Eris!
En ta pureté du regard brille la flamme rosée
de ta danse immaculée par l'innocence,
en ton coeur cardinal : ô précieux Saphir !
N'aurai su de quoi est ce tout ? Et où est ce tout?
Pas toi en tout cas, car tu devances et condamnes.
Par l'austère en souvenir, la beauté punit l'âme.